Les écologistes avaient refusé un accord de premier tour en jurant que jamais Hélène Mandroux ne parviendrait à constituer des listes en aussi peu de temps puisqu'elle n'a disposé que de trois semaines. Les faits leur donnent tort. Peut-être les électeurs les placeront-ils en pôle position de la Gauche anti-Frèche ? Qu'importe. L'important est qu'au second tour une fusion soit possible sur la base d'un projet commun et des résultats du premier tour.
Claude Bartolone a par ailleurs indiqué que les 5O socialistes candidats sur les listes Frèche se mettaient en dehors du parti pour deux années. Ils ne pourront pas participer aux primaires à gauche au nom du PS.