Le mois de février résonne depuis 100 ans au son du tournoi des VI nations. Combativité, solidarité, esprit d'équipe, l'air de rien, le monde l'ovalie partage quelques menus points commun avec l'univers du chant choral. Être un groupe, chanter ensemble, travailler collectivement pour un succès d'équipe, partager une aventure humaine.Mais si la complexité des règles de rugby ne vous emballe pas trop ou si vous trouver un peut sale et violent ces grands bonshommes qui se jètent dans la boue autour d'un ballon même pas rond, prenez le temps du début de match pour découvrir l'autre trésor des VI nations, les hymnes.Fait unique dans le sport, les hymne avant le tournois sont sacré au yeux des spectateurs, jamais sifflet, chaudement applaudit et chanté à tue tête, les hymnes font partie de la fête.Entre le classique God save the QueenAnglais, et la belliqueuse MarseillaiseFançaise, on goûte aux saveurs celtique du Land of FatherGallois chanté en Gaélique. On peut entendre deux hymnes pour les Irlandais, Amhrán na bhFiann de la République d'Irlande et L'Ireland Calls, l'hymne de toute l'île. Inventé pour le rugby, cet hymne permettait de faire jouer catholiques et protestants sous le même maillot vert. Les nouveaux venu Italiens débarquent avec le pétillant Fratelli d'Itaila composé, excusez du peu, par Guiseppe Verdi. Pendant un match du XV de la Rose, c'est Swing Law, Swing Charriots chanté en chœurs par des milliers de spectateurs que l'on entend. Un chant gospel emprunté aux américains.La palme revient sûrement à l'impressionnant Flower of Scotland écossais. Chanté dans le tournoi depuis 1990 seulement, le Flower of Scotland est fini à capella par le public de Murreyfield. La voie de tout un pays qui n'existe pas. Frissons garantit. (ça commence à 0,40 secondes)Et vous, avez vous déjà chanté des hymnes avec votre chorale ?