Umaginons les anti-badinter, les soumis, les esxclaves dans leurs têtes en train de laver les couches de leurs bébés non-jetables... les bébés et les couches! Ah, comme ça doit être rigolo de voir ces gens décrasser la merde, avec un sourire, à la main!
Heureusement qu'il y a Badinter qui lutte contre la mère-névrose, la "au foyer" dangereuse qui a fait ses preuves depuis des millénaires! vivement l'apogée des mères libres, joyeuses, ayant choisi un métier épanouisssant et apportnt la culture, la tendresse vraie et choisie à leurs mômes! honneur aussi aux "good enough" du vieux Donald (http://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_Winnicott)! Elle font tellement moins de mal qu'une "au foyer" emprisonnante! Etre mère, ce n'est pas un état! C'est un choix énergique! Et ça demande aussi de ne pas s'enfermer! Hélas, il n'y a que l'indépendance financuère qui puisse libérer une femme aujourd'hui! Faut bosser;Mais ça ouvre au monde, commeun père.Car, en efet, la mère donne la vie (et la mort) tandis que le père met au monde en apportant le langage, en brisant la dyade fusionnelle...Seulement, on n'en veut plus, des pères...on veut se garder les mômes...et se plaindre. En même temps on peste contre le manque de pères!
Allez laver les couches, esclaves!