En ce moment, une expo qui fait écho à celle de Paris sur les Vanités… "Flowers, Deaths and Butterflies". Quatre grandes et belles oeuvres de Damien Hirst, trois Baselitz, un immense tableau de Jonathan Meese entre autres. De belles pièces, vastes, bien éclairées, de grandes fenêtres pouvant s'occulter de l'intérieur par des panneaux, des livres d'art et un vestiaire tenu par un homme à la politesse d'un autre âge : Un homme tenant son manteau à une femme et l'aidant à l'enfiler… Bien loin des Berlinois dont on m'a vanté la rudesse.
Hier, je suis allée pour la première fois à "l'Ausstellungsraum Bastian" (espace d'exposition Bastian), collection privée dudit Bastian et de sa femme qui se sont fait construire par l'architecte David Chippenfield un bâtiment digne d'un musée d'art contemporain (juste à côté de "l'île aux musées"), et où ils vivent - apparemment - au dernier étage… (J'ai vu la sonnette et l'interphone, le petit escalier raide menant à une petite porte blanche…)
Vue des marches du deuxième étage
En ce moment, une expo qui fait écho à celle de Paris sur les Vanités… "Flowers, Deaths and Butterflies". Quatre grandes et belles oeuvres de Damien Hirst, trois Baselitz, un immense tableau de Jonathan Meese entre autres. De belles pièces, vastes, bien éclairées, de grandes fenêtres pouvant s'occulter de l'intérieur par des panneaux, des livres d'art et un vestiaire tenu par un homme à la politesse d'un autre âge : Un homme tenant son manteau à une femme et l'aidant à l'enfiler… Bien loin des Berlinois dont on m'a vanté la rudesse.
En ce moment, une expo qui fait écho à celle de Paris sur les Vanités… "Flowers, Deaths and Butterflies". Quatre grandes et belles oeuvres de Damien Hirst, trois Baselitz, un immense tableau de Jonathan Meese entre autres. De belles pièces, vastes, bien éclairées, de grandes fenêtres pouvant s'occulter de l'intérieur par des panneaux, des livres d'art et un vestiaire tenu par un homme à la politesse d'un autre âge : Un homme tenant son manteau à une femme et l'aidant à l'enfiler… Bien loin des Berlinois dont on m'a vanté la rudesse.