parce ce qu'il commence à se faire tard puisque ct il y a presque une semaine, parce que plein de choses y sont écrites, je copiecolle de larges extraits de la chronique de rosita boisseau dans le monde et sur le monde.fr ici.
ça ne manque pas d'idées, ça part même dans tous les sens. Entre les deux, Au sens figuré, il est aussi démuni face à la mort de Pina Bausch, dont les motifs de prédilection (désir d'amour, paroles lancées au micro, musiques populaires...) rattrapent sans cesse les danseurs au coin d'un mot ou d'un mouvement sur le plateau vide. Out of Context - For Pina est aussi doublement démuni. Au sens propre, car il n'y a ni costumes (...), ni décor (contrairement aux habitudes de scénographie de Platel), ni orchestre (là aussi contrairement à ces mêmes habitudes). (...) Paradoxalement, cet instinct collectif laisse libre cours à l'originalité de chacun. Des bouffées délirantes, des accès burlesques court-circuitent l'atmosphère de gravité et de deuil de la pièce. Chacun des neuf danseurs trouve sa soupape d'échappement : - (...) avec évidemment surtout surtout les - irruptions déjantées de Rosalba Torres GuerreroOrphelin donc, Out of Context - For Pina n'a d'autre choix que d'approfondir les obsessions de Platel : celles d'un corps fragile, toujours sujet à des déséquilibres, des régressions jusqu'à la débilité. Se flairer, se frotter, s'observer... L'animalité n'est jamais loin chez ce chorégraphe, qui n'oublie pas non plus ses années de travail auprès d'enfants malades mentaux.(...)
et je pomCpomV aussi ces images en mouvement avec ces drôles de sons venus de Gand et alentours.
oui oui Aïcha ! et le son, cet électronic beat qui bat, c'est Sam Serruys.
là le site des ballets c de la b.