Bref, bref, j'ai quand même bien aimé les quelques vers publiés dans la NR, par Gérard, qui habite Tendu. Si si. L'Indre abrite à la fois le village de Saint-Valentin, et le village de Tendu, ç ane s'invente pas. Mais revenons à Gérard, toujours à Tendu.
"Ni calme, ni repos
Comme on passe le doigt entre l'arbre et l'écorce
L'amour s'est infiltré, s'est glissé sous ma peau
Avec tant d'insistance et avec tant de force
Que je n'ai plus depuis ni calme ni repos
Florence, Florence, Florence mon amour."
Parfais, parfait.
En authentique rabat-joie, je me pose hélas une question...
Gérard ment, à Tendu ?
Oui oui, je sais, la Saint-Valentin n'est pas le jour des vannes pourries, mais on peut fêter l'amour... avec humour, n'est-ce pas ?
Alors, bonne fête, les z'amoureux !
Illustrations : Norman Rockwell