L’ex-mao reconverti ultralibéral ne se refuse rien. Aux frais de la princesse, comme il se doit chez ces gens-là qui ne sont pas là pour “servir” mais pour “se servir”… Air connu : il voyagerait beaucoup ! Encore un qui explose inconsidérément son bilan carbone, d’autant qu’il lui est reproché de rouler dans un gros 4×4 bien polluant. Ensuite de quoi, il viendra nous faire la leçon et nous dire qu’il faut passer par la case taxe carbone.
Comment ne pas être en colère ? Un gloutocrate de plus. Mais en même temps quelque chose qui relève d’un profond dégoût. Associé à un mépris encore plus grand.
Nous ployons sous les difficultés sans nom et ils trouvent encore le moyen de s’asseoir sur nos épaules. Peser bien fort pour que nous ne puissions nous relever. Et comme cela ne suffit pas, Barroso est aux commandes du rouleau compresseur ultralibéral. Obéissant au doigt et à l’œil à toutes les injonctions des multinationales. Un bon valet. Le gilet est rayé d’or. Dur !