La garde à vue menacée : quel avenir pour nos enfants ?

Publié le 12 février 2010 par Bravepatrie

Quels parents, bons Français qui se lèvent tôt et qui travaillent dur pour dépenser plus, ne rencontrent pas de difficultés pour faire garder leurs enfants ? Jusque là, ce fut le service public de la garde à vue qui y pourvoya avec une efficacité redoutable, mais peut-être pas pour longtemps.

Faire garder son enfant n’est pas chose facile. Les places en crèche sont de plus en plus rares, les assistantes maternelles de plus en plus chères et l’offre disponible de plus en plus inadaptée aux contraintes professionnelles des parents. Il est aujourd’hui pratiquement impossible de trouver une solution de garde après 17h00 pour nos quelques compatriotes qui n’ont pas les moyens d’avoir une fille au pair, le tout sans compter les défaillances multiples de l’institution, à commencer par les mouvements de protestation qui agitent régulièrement le milieu ultra-gauchiste de l’éducation nationale contre le redressement général de la Patrie.

Heureusement, il existe une alternative qui suscite un vif intérêt chez les braves parents : la garde à vue. La garde à vue est un dispositif souvent méconnu mais déjà utilisé par des milliers de petits malins qui, à peu de frais, parviennent à faire garder leurs enfants jusqu’à 72 heures d’affilée par une équipe très expérimentée d’éducateurs spécialisés de la police nationale. L’enfant est très entouré, très encadré - jusqu’à trois ou quatre mâles alpha dans la pièce – environnement idéal pour le développement de sa personnalité vers quelque chose de très sain. Il gardera un souvenir ému du concept d’autorité toute sa vie.

« L’annuaire téléphonique est le fondement de notre projet pédagogique », déclare un éducateur. Chacun des stagiaires le connait par cœur en sortant de garde à vue.
Les conditions d’hébergement sont « parfaitement conformes aux préconisations de la Cour des Droits de l’Homme du Burkina Faso ». La couche est spartiate mais confortable : elle a en général été customisée par ses précédents occupants et il n’est pas rare d’y trouver de la nourriture en abondance en grattant les mur, habitude qui s’insère à la perfection dans le cadre du régime alimentaire maison conçu par des diététiciens de renommée internationale de Daunat à Sodebo. L’apport glucidique est optimisé pour que les périodes d’éveil soient prolongées, en complément de la luminothérapie.

La méthode est exclusivement basée sur le principe du volontariat. L’enfant fait ce qu’il veut, on lui laisse toujours le choix : « Ou tu parles ou j’appelle ton alcoolique de paternel », ainsi commencent les entretiens. L’enfant, mis à l’aise, se livre en général assez facilement, « nous discutons des heures et passons des moments inoubliables » s’émeut-on en coulisses.

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Kévin, 14 ans, sort de garde à vue.

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Kévin, 14 ans, sort de garde à vue.

Les parents récupèrent leur progéniture ravis du service rendu et les enfants sont transfigurés en quelque chose de beaucoup plus acceptable. Une mère de famille témoigne au micro de Brave Patrie : « Notre fille ne mange plus depuis quinze jours : elle ne nous coute plus rien ! ». Ces résultats remarquables, elle les doit à la garde à vue, cette vieille tradition républicaine de charité envers les familles les plus démunies.

Aujourd’hui, cette garde à vue synonyme de lien social est menacée. Des lobbies droit-de-l’hommistes voudraient soustraire des milliers de gamins qui ne demandent qu’à apprendre de l’influence positive exercée par les grands frères de la BAC. Certains membres du gouvernement sont allés jusqu’à prendre position contre la multiplication des gardes à vue, à l’exemple de François Fillon qui voudrait en réduire le nombre alors qu’il mène depuis 2007 la politique absolument inverse. L’enquête devra établir si le premier ministre est un consommateur régulier de LSD.

Cette tendance est d’autant plus regrettable que les premières victimes en sont les parents, qui risquent dorénavant de trouver porte close alors que les besoins sont toujours plus importants. Que feront-ils de leurs gosses ? Ca, la gauche ne nous le dit pas, évidemment.