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Vendredi, ça rime à rienou alorssans tambour ni fanfare avec: poissonce qui revient finalement au même.
Vendrediça prend le largeen panoramiquedu hautdu chemin des contrebandiers. Mais ouit'as bien entendu!Pas celui des douaniers.Il faut choisir son campCamarade.
Vendredi, j'ai la cale sèche,et les formes avides.Le port à ses raisonsqui dépassent la crise.Seulement, tu vois...Bientôt ici, si l'on n'y prend garde,on boira aux souvenirsaux batailles de l'Histoireet au muséetout neufdes tragédies ouvrières.
Vendredi ou samedi...sur son pré électoral.On s'attendforcémentau parachute,déguisé en ombrelle peut-être...Dame!Le jacques au bainmaquille toujoursses promesses.Cette année,ligère est terrible...
Vendredi,j'ai la pêche...côtière,Que veux-tu, c'est mon titre de noblessequi n'est pas hauturière.Etles presque fonds marinsqui en ont marrede se prendre des racléesme disent en retrouvant un peu de souffle: Merci
Vendredien levant la têtede mon front de mer j'ai aperçu un étrange volatile.Selon les expertspatentés il annoncerait la paix...Franchement,j'ai eu du mal à le croiremais,à ma déchargejm'appelle pasOlivier
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