Je les ai attendus toute la journée, et ça y est, à la nuit tombante, nous sommes allés à leur rencontre sur la route de Cheneni. Ils ont été retardés par la tempête de sable, et l'un des
grands dromadaires s'est blessé le pied sur les cailloux de la piste, car ils sont pour l'instant uniquement habitués au désert. Mais notre responsable chamelier me dit qu'ils vont s'adapter. Je
sais que demain je me lèverai tôt pour aller les admirer de plus près, la motivation est là !