je me suis réveillé, un sacré
mal de tête,hier tu m'as cassé , imagine
peut être,une immense nouvelle que l'on
veut partager,sans crier à outrance, on
peut se délecter,et tel une Cosette dans des
temps plus anciensrester dessous la table et
pleurer tout du bien!l'amitié est un filtre qui
sait respecter l'autre,qui sait lire
en lui des détresses malpropres,et accepter
de lui ces silences tacites,et aux uns du
bonheur, aux autres l'anthracite!Si tu fais
vingt et un à la table de chance,Oui on peut
jubiler, c'est sur en silence je n'ai peur
de rien sauf pleurer à outrance,d'une fille
perdue :déjà cinq ans d'errance!