À lire, ce témoignage d’une professeur d’anglais en ZEP :
Voilà [...] ma journée d’hier. Il va sans dire que je suis rentrée chez moi exténuée nerveusement, encore fébrile de tous les coups psychologiques qu’il m’avait fallu esquiver, limite prête à donner ma démission tellement ma belle mission éducative me semblait définitivement souillée par la boue de l’ingratitude de ces gamins et de la violence latente même chez les filles les plus apparemment douces.
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