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Dans un épisode récemment diffusé aux USA (410 The Passion of the Betty) Betty devient la muse involontaire d'un peintre. En effet son actuel petit copain, Matt, avait ressenti le besoin d'évacuer sa colère vise-à-vis de l'héroïne lors de leur précédente rupture par la peinture. Ce qui conduit à des œuvres difficilement supportables pour cette dernière. Cependant le rendu de certaines est très joli et d'autres (la paire de seins ciliconés) sont très drôles, mettant en avant les signes distinctifs made in Betty, à savoir l'appareil dentaire, les lunettes à la monture rouge et le collier "B". See yourself.
Cela me permet de saluer au passage cette série qui vit ses dernières heures. C'est officiel, le dernier épisode de la série sera diffusé le 14 avril prochain. Au revoir MODE Magazine !
Certains peuvent critiquer la légerté de cette série ou de ses personnages cependant, pour ma part, elle me fait toujours rire. J'avais cependant cesser de la regarder au terme de la saison deux car je trouvais que les personnages n'évoluaient pas. Et je ne sais plus pour quelle raison je me suis mise à reprendre au début de la quatrième. Cependant, ce que j'apprécie avec cette dernière c'est l'évolution des personnages. Cela n'arrête pas, et c'est salvateur. Il était temps. Même si Betty m'énerve encore parfois à vouloir toujours faire ce qui est juste ce qui est paradoxale dans le milieu de la mode vous en conviendrez. Ou encore Daniel, d'une fadeur sans fond. Cependant les seconds rôles, en particulier le duo Marc/Amanda est toujours aussi tordant. De vrai comiques qui savent jouer avec leur corps/gestuels/mouvements du visage pour notre plus grand bonheur. Là le vrai talent de comédiens. Tout comme avec la série Chuck que j'apprécie retrouver chaque semaine car je sais que je vais passer un bon moment avec pas mal de rires à la clé. Même House qui a reprit depuis la semaine dernière sur TF1 me fait mourir de rire par son irrévérence. Et pourtant ce n'est pas gagner car, à la base, c'est un drame. Ce que je trouve alors d'autant plus triste pour la sitcom The Big Bang Theory : qui dit sitcom dit blague/rire à la minute. Or cela fait bien longtemps que le show ne m'amuse plus. Dommage, moi qui pensais avoir trouver un digne héritié de Friends. Pour clore cette petite parenthèse : juste se montrer reconnaissant vise-à-vis des comédies trop facilement dénigrées face aux drames. Or il est bien plus difficile de faire rire que de faire pleurer. À bon entendeur...