J’ai beaucoup plané en info, spéculé, imaginé. Que reste-t-il de ces projets ? Restent les bribes qui ont été partagées, utilisées, dans plusieurs contexte. Le summum étant ce qui a été utilisé en production chez un client (comme outil, voire consécration ultime comme brique livrée en production). Le top du top étant de publier un composant open-source utile. Restent aussi les idées discutées, publiées.
Nos rêves de soft doivent sortir de nos têtes et se confronter au monde réel : contraintes (de temps de réalisation, de fiabilité, …), échanges critiques.
Reste aussi l’activité d’inception, si elle sait faire la part des choses entre besoin et solution (cf http://softreves.wordpress.com)