Paris se déplaçait à Vesoul hier soir, pour le compte des huitièmes de finale de la coupe de France. Et la seule chose que l’on peut dire de ce match, c’est qu’il n’a pas fait honneur à la chanson de Jacques Brel… On a vu ni Vesoul ni Paris! (même Dutronc n’était pas présent…)
Un but de Ludovic Giuly dans le premier quart de jeu et pis c’est tout! Paris est une équipe en plein doute en ce moment et ça se voit. Impossible pour elle d’emballer le match ou de faire valoir son statut honorable de 15eme de Ligue 1. Elle s’est même fait une frayeur en fin de match mais Edel veillait.
Vesoul ne s’est jamais vraiment livrée. Pourtant avec un peu de fougue, d’entrain et d’envie, la défense parisienne aurait doutée en un rien de temps, et la qualification aurait été envisageable.
Les parisiens se sentent soulagés et ne retiennent que la qualification. En d’autres temps, gagner par le plus petit des scores contre une équipe qui se bat pour ne pas descendre en CFA2 aurait été une honte pour le PSG. Mais bon en temps de crise, on prend tout.
Mention spéciale pour Rennes. Capable de gifler Bordeaux, et de se faire éliminer par Quevilly, club de CFA, lors de la même semaine. C’est Antonnetti qui doit être vert de rage.
Abédi Poulet