C'est fou, ça : demandez autour de vous que l'on vous prononce le nom de Stefan Zweig. Eh bien il se trouvera une foule de dyslexiques qui s'ignorent pour articuler distinctement ZWIÉGUE, alors que bon, a priori, rien ne laissait croire qu'ils auraient pu inverser les lettres et moins encore leur vocalisation.
Stefan ZWÉÏG... ZW-É-I-GUE, répétez plusieurs fois avec moi. Voilà, rien de compliqué pourtant ! Et le pire ? S'il vous lance un « J'ai lu le dernier ZWEIG », étrangement, vous comprendrez. Pas seulement parce que vous, vous êtes doté d'un esprit supérieur, bien que cela vous aide, en effet. Mais voilà, on comprend...
Incompréhensible. Vraiment.
Tout cela pour dire que la chronique du livre de Laurent Sevski, Les deniers jours de Stefan Zweig n'attend plus que vous.