L’imminence d’un bouleversement total de l’Internet (prononcez interné) avec ce web déclamé 2.0 et plus , est d’en faire un autre territoire où une part de notre société s’y développe, et doit maintenant découvrir sa pratique, et arriver à l’autogestion généralisée ou l’auto-organisation vulgarisée , de façon confuse qui nécessite un dépassement de tous.
Lloyd George disait « Vous voulez détruire notre organisation sociale, que mettrez-vous à sa place ? »
Il s’agit du pouvoir du libre de droits, accessible à tous et de la pensée comme caravanes arpentant les sentiers que nous créons et qui ferait de ces zones temporaires notre lieu commun et quotidien. Et il est aussi question du web comme nouveau type d’organisation sociale. L ‘ensemble des hommes autogérerait la totalité des réseaux à travers celui-ci, inaugurant ainsi un style de vie fondé sur l’émancipation permanente individuelle et collective, unitairement.
De ce qui précède à ce qui suit, il est clair que le projet d’autogestion généralisée exige autant de précisions qu’il y a de désirs en chaque individu, et autant de révolutionnaires qu’il y a de gens insatisfaits de leur vie quotidienne. La société show et commerce fonde les conditions répressives et contradictoirement, dans le refus qu’elle suscite. Peut on être positif dans la subjectivité ; de même notre formation issue de la lutte contre l’oppression globale, fonde les conditions d’une réalisation permanente de la subjectivité, sans autre limite que sa propre impatience à taire l’histoire.
Ainsi l’autogestion généralisée se confond avec la capacité à réaliser historiquement l’imaginaire, et hors de celle ci, tout perdrait de sa signification. Il faut traiter, donc sur-le-champ en ennemi, quiconque parle de ces nouveaux modes de réflexions en termes d’organismes économiques ou sociaux, quiconque ne les place au centre de la révolution de la vie quotidienne; avec la pratique que cela suppose.