J'ai déjà abondamment dit et écrit ce que je pense des prétendues prévisions du GIEC, ridicules et destinées à faire peur. Prévoir un réchauffement de la planète alors que ces braves gens sont incapables de nous dire correctement le temps qu'il fera dans trois jours! Nous ne savons RIEN du climat et de ce qui le provoque, car les paramètres sont trop nombreux pour être efficacement pris en compte. Alors venir nous raconter que l'homme est responsable d'un hypothétique réchauffement, c'est du foutage de gueule irresponsable. Il y a vingt mille ans la moitié de cette planète était sous une couche de glace de plusieurs kilomètres d'épaisseur, j'imagine que les hommes préhistoriques ne faisaient pas assez de feux dans leurs cavernes...
Ce qui ne signifie pas pour autant qu'il ne soit pas intéressant de travailler à faire des économies quant à notre consommation d'énergie, bien au contraire. C'est une excellente motivation pour la recherche scientifique et les progrès techniques indispensables à la vitalité de notre économie. L'avenir est à la recherche fondamentale et à l'ingénierie.
Après la découverte de courriels cyniques détournés de membres du GIEC, qui se gobergent tout de même royalement à nos frais, voici la nouveau coup porté à l'intégrité de ces soi-disant chercheurs: en 2007, dans son 4è rapport, qui lui avait valu le Prix Nobel de la Paix, le GIEC avait estimé que les glaciers de l'Himalaya reculaient plus vite que les autres du monde et "pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant". Or cette échéance n'est fondée sur aucune recherche valide et avait été utilisée à l'origine par l'organisation environnementale WWF. Interrogé par l'AFP lundi, un éminent glaciologue autrichien et l'un des co-auteurs du rapport de 2007, le Pr Georg Kaser, de l'Institut de glaciologie d'Innsbrück, a assuré avoir attiré l'attention de ses pairs sur cette "erreur" dès 2006.
Un article à lire d'urgence, afin de continuer à se faire une idée juste de l'arnaque scientifique du siècle.