Il a craqué dessus. Ses mérites vantés par un ami, sa maniabilité d’utilisation et son design plus qu’étudié l’ont fait succomber à la tentation. Mais il n’était pas seul sur le coup, pour l’obtenir il lui a fallu défendre sa tente. Plus qu’emballé, Il n’aura fallu que quelques instants pour qu’il la monte. Central ou latéral, il y’a plusieurs accès pour y pénétrer.
Son oncle n’est pas d’Amérique, sa tante n’est pas canadienne…elle est française. Comme un « pont » sur la Manche qui les a réunis.
Et voilà donc John Terry dans la tourmente.
« l’effet d’une bombe », dans le corps et dans la presse.
Ce qui devait rester une simple affaire privée déclenche autant d’excitation qu’une élection de Miss Camping aux « Flots Bleus ».
Fustiger le désormais ex-capitaine de l’Equipe d’Angleterre de la sorte me paraît excessif, incongru, bref…quel rapport avec le foot ?…
Destituer de son rôle un des meilleurs défenseurs du Monde pour une question de morale, Capello a-til cédé à la pression publique, aux bien-pensants de la Perfide Albion ?
Son compatriote Carlo Ancelotti s’en est tenu à : »c’est sa vie privée et je n’ai pas envie d’en savoir plus. Seul son comportement professionnel m’interesse. Et il est au top ! ».
L’entraîneur de Chelsea a raison, il ne faut pas en vouloir à Terry de faire du sport à la maison.
Que le brassard aille à »Rio » ne changera rien. Vanessa Perroncel a vu le « pain de sucre ». C’est trop tard.
V. Perroncel, ex-petite amie de Wayne Bridge.
Le Brassard pour Stevie G ?…bien que blanchi, ses affaires privées, bien qu’il n’ait utilisé que ses poings, ont marqué l’année 2009. Et Phil Collins, le principal responsable de tout cela, est toujours en cavale.
A quelques mois de la Coupe du Monde, cette histoire aurait mieux fait d’être tue. Le privé prend le pas sur le sportif, au risque de mettre en péril la préparation anglaise.
Ce n’est pas bon pour les « Trois Lions » mais il faut faire avec. Le sensationnel, le « people » font partie du Football « Moderne » comme les orgies de Ronaldinho ou les travelos de Ronaldo.
Mes derniers mots et cette question un peu trash, pour bien cadrer dans ce paysage que j’éxècre, iront à l’adresse de Mademoiselle Perroncel :
« Est-ce qu’il a mis la tête ? »