Alors qu’elle aurait quantité d’autres chats à fouetter à Berne et une pile de choses en retard à résorber, alors que son pays est en pleine cacade politique avec un Conseil fédéral gâteux et dangereux, Doris a choisi de mettre le cap sur Vancouver, pour assister quatre jours durant, aux JO d’hiver.
En plus, en prenant dans ses bagages l’inénarrable Ueli. Une conception dinosauresque de la politique, le signe d’une incapacité à faire les choix opportuns au bon moment, un manque de jugeote flagrant et pour changer un mépris total pour celles et eux qui ne sont pas (encore ?) électrices et électeurs du Gouvernement.
Ce billet provient du blog ouVertures.info, une autre lecture de l'info.Reproduction et diffusion autorisées exclusivement sur la base d'un accord préalable écrit.
Doris et Ueli en course d’école
Vous pouvez lire aussi dans le même ordre d'idées :