Comme à chaque jour qui passe le grand dadais fédéral en rajoute une couche pour ensevelir le pays et sa place financière, au point que ça en devient comique ou triste selon le point de vue qu’on adopte.
Il pourrait pourtant être facilement neutralisé si on prenait la peine de le rexpédier pour un petit stage de repos forcé dans les palaces libyens et pour prendre, le temps de se calmer, la place d’un otage au moins.
A sa valeur actuelle, exiger deux otages contre son assignation à résidence est excessif, même pour les bédouins qu’il « connaît bien » (il a dû au moins lire Tintin en suisse-allemand il y a cinquante ans).
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Merz : retour en Libye par exprès
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