Voilà pour le contexte. Maintenant que le décor est planté, reste à voir ce que les annonceurs et leurs agences nous ont réservé pour l'occasion. En espérant que le niveau soit un peu plus élevé que l'an passé.
- C'est la crise, j'ai tout perdu, mais on s'en tape y a du Coca qui coule à flots et les Simpson en guests :
- L'enfant emporté par un ballon, ou comment une marque récupère un fait divers pour en faire un spot marrant :
- Des classiques attendus, les spots Bud Light, avec un humour absurde qui fait toujours mouche et qu'on adore :
- Cocorico, le film pour la gamme Dove Men, imaginé par l'agence Ogilvy Paris :
- Et encore des pubs Doritos, une marque également fidèle au Superbowl :
- Career Builder, pour leur casting vraiment réussi :
- Dodge Charger, parce que c'est vraiment macho et ça fait du bien avant la St Valentin ;-)
- Volkswagen, c'est un peu long mais ça fait plaisir de revoir Stevie Wonder (mais si...) :
- Le spot Google, pas parce qu'il est créatif (l'est même pas terrible), mais parce que tout le monde en parle ou va en parler, et donc il faudra l'avoir vu pour ne pas être largué devant la machine à café. Et ce spot nous explique clairement à quoi sert Google : c'est pour que les américains puissent choper en France. Ben oui c'est l'évidence.
Pour faire un bilan à chaud, ben... on a malheureusement eu l'impression que le niveau était pas forcément plus élevé que l'an passé, et ça devient inquiétant. Si le Superbowl n'est plus l'occasion de diffuser des bonnes pubs bien créas à un large public, qu'est-ce qui le sera ?!?
On ne regarde pas le Superbowl pour le côté sportif (franchement, qui est en mesure de comprendre toutes les règles du foot US?), plus vraiment pour les pubs, ... Heureusement que ça reste une bonne occasion de bouffer des chips en buvant de la bière, tiens (ouais, on est glamours hein).
Enfin, si vous vous demandez qui a remporté la finale : et bien au terme d'un joli match les Saints de la Nouvelle Orléans ont déjoué les pronostics et ont gagné par 31 à 17.