Diana Kimpton, une auteure jeunesse affirme que c'est un « non-sens absolu » pour les éditeurs de négocier les droits des livres quand ils seront épuisés. Alors qu'en toute logique dans ce cas, les droits devraient revenir à leurs auteurs.
Un autre auteur, Charles Butler rappelle que : « La Publishers Association existe pour veiller sur les intérêts des éditeurs... Ceux-ci ne sont certainement pas identiques à ceux des auteurs ou des ayants-droits ».
Enfin, l'écrivain Nick Harkaway est peut-être le plus virulent. Il déclare : « Il [le gouvernement] refuse de s'engager face à ce qui pourrait être la plus grande violation de la propriété intellectuelle qui ait jamais existé » assénant : « C'est un aveu de faiblesse, ils [les dirigeants] sont heureux d'envoyer des convocations aux adolescents pour piratage, mais ont peur de défendre les droits des auteurs britanniques face aux actions d'une grande et puissante entité des médias ».