Février a aussi son défi mot

Plus les mois passent et plus il faut que je creuse mes méninges pour vous trouver un mot digne de vos participations de plus en plus nombreuses. Pour le moment, je ne me trompe pas. Mon lectorat est fidèle et participe intensément. Février sera beaucoup plus court, donc vous aurez moins de temps mais je vous laisse jusqu’à la fin du mois pour vos participations.

Alors, quel est le mot de ce mois-ci ? Il faut bien sûr qu’il aille avec ma personnalité mais aussi la vôtre.

Tadam. Nous allons faire original. Cela a été l’objet d’une de mes notes.

CHAUSSURE

Vous devriez vous en sortir, je le pense. Et puis s’il le faut, imaginez.

Quel rapport j’entretiens avec mes chaussures. Déjà pas de talons, pour moi, même pas un petit. J’aime les chaussures confortables, mais stylées. Donc, même si elles sont confortables pour mes pieds, ce ne sont pas des chaussures de mémère. Loin de là, mes préférences vont aux Dr Marten’s, j’aurais des sous, j’en achèterai des paires et des paires. Ah, mais c’est vrai, il y a assez d’une shoes addict à la maison. Autrement l’été, c’est Birkenstock. Vous allez me dire que ce n’est pas très élégant, mais tant que je suis bien dans mes baskets, (jeu de mots), les autres, je n’en ai rien à faire. Vous ne trouverez aucune paire d’escarpins ou de ballerines chez moi. Pourquoi, car déjà l’hiver je n’aime pas mettre des collants, vu qu’ils me compriment le ventre et puis j’ai les pieds frileux, donc il me faut des chaussettes et non des bas. Des chaussettes dans les escarpins ou ballerines, ce n’est pas le top. Et puis, la chaussure n’est pas fermée comme il faut. Mes chaussures doivent me tenir la cheville car s’il m’arrive de courir, j’ai le pied qui flanche.

Et puis, en plus il ne me faut rien en travers de mon chemin. Car s’il y a un trou, un poteau, quoi que ce soit, qui se le prend ? Moi. Quand je suis dans la rue, je ne fais absolument pas attention. C’est gamelles garanties donc il vaut mieux que je sois près du sol.

Je ne dirai pas que je n’ai jamais porté de talons. Loin de là. Il y a une dizaine d’années, lorsque la mode était aux chaussures à plateforme, j’en ai acheté. Je conduisais même avec. Mais ce n’était vraiment pas la chaussure fine.

Vous l’aurez donc compris. Tant que la chaussure n’est pas trop fine, ça me va.

Bottes, mi-bottes, baskets stylées, Birks, je trouve toujours chaussure à mon pied.

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