Pierre Laurent s’est rendu hier, lundi 1er février à la Grande Hall de la Villette pour le débat sur la crise du logement organisé par la Fondation Abbé Pierre. Plusieurs représentants d’autres formations politiques étaient présents, François Bayrou (Modem), Harlem Désir (PS), Marc-Philippe Daubresse (UMP).
Le mal logement selon le 15è rapport du mal-logement en France c’est :
La progression du coût du logement a été d’autant plus forte que l’on dispose de revenu faibles et elle a donc pour conséquence de creuser les inégalités sociales au sein de la société française et de renforcer l’inégale distribution des revenus. Les difficultés d’accès au logement et le mal-logement constituent à la fois une insécurité sociale majeure et une atteinte à la dignité des personnes. Le silence des pouvoirs publics est coupable. La politique actuelle préfigure une aggravation de la crise du logement. Or, l’intervention publique s’est toujours révélée indispensable (pour favoriser le logement ouvrier au début du siècle, pour soutenir la construction après la seconde guerre mondiale, pour lutter contre la ségrégation et favoriser l’accès des plus modestes depuis vingt-ans).
Maison à 100.000 euros puis à 15 € par jour ; droit opposable au logement inappliqué ; vente à la découpe du logement social et aujourd’hui la proposition de Benoist Apparu d’acheter les logements vacants... Cette liste est bien trop longue de fausses solutions qui bénéficient aux seuls propriétaires de logement. Nous avons besoin d’une rupture ! L’élection régionale sera un véritable test. Si la région n’a pas à proprement les compétences en matière de logement, les leviers existent pour que ça change. C’est pourquoi, nous proposons :