Bonjour…Je vous confiais il y a peu que le fait de m’intéresser à la pâtisserie a résolu mes conflits avec le sucre, coupable idéal de certains soucis pondéraux. Ce que je voulais dire, c’est que j’ai appris à apprécier la qualité de certaines choses.
Si ce n’est pas pour la découverte ou pour leur faire honneur, le sucré et les pâtisseries ne m’intéressent pas !!!Quitte à manger sucré, autant le faire pour une bonne raison…
Ce que je dis n’engage que moi, mais dorénavant, à choisir entre une tablette de Milka et rien, je choisirai rien… Je n’ai rien contre le Milka, au contraire, c’est juste que je trouve qu’il n’a pas de valeur ajoutée en l’état, et qu’il ne vaut le détour que si il est travaillé dans une recette. Autre exemple avec un chausson aux pommes. Depuis que j’en ai mangé un chez Christophe Vasseur, pas plus cher qu’ailleurs : des dés de pommes cuits directement dans une pâte feuilletée maison ! Fini pour moi ceux des chaines franchisées de boulangerie: gras, de la compote dans une pâte feuilletée.
Et maintenant… ?Désormais, j’ai une nette préférence pour le “reconnu de qualité” (qui éveille ma curiosité du coup !) ou le fait-maison (car quelqu’un y aura mit du cœur et du
Mais qu’en est t’il de ce que je pâtisse ???Pas de gaspillage, c’est la crise! Je le donne en général: Mr Mamour, collègues, proches, collègues de Mr Mamour… Je goûte, mais pas si souvent que ça et ouf personne ne s’en est plaint jusqu’alors…! Quand je tente une recette, c’est comme un mini-duel entre le sucre et moi. Quand s’est fini, quelque soit le vainqueur, je pense de suite au défi suivant !!!
Aujourd’hui, grâce à la pâtisserie, je déguste, je cherche, j’y investit mes 5 sens, je patiente, je choisi ce que je mange…
Aujourd’hui, grâce à la pâtisserie, j’aime le sucre dans le bon sens, d’un amour franc, respectueux, réel et passionné…