Là où Obama ne change pas c’est dans son mépris pour l’Europe. Il déserte le prochain sommet UE – USA.
Les explications varient, mais toutes montrent le spectacle affligeant des gouvernants européens prêts à se prostituer pour être vus dans l’ombre d’Obama, et le chaos qui s’ensuit.
Conséquence du vice de construction de l’Europe qui aurait instauré la division et l’impossibilité de coordination comme principe fondateur ?
Dans l’affaire le réel paradoxe viendrait des libéraux anglais : alors que le marché, leur Dieu, semble demander un tel chaos, eux se lamentent de l’impéritie européenne et réclament un pouvoir fort. Or ils étaient opposés au traité de Lisbonne qui devait le créer !
Serions-nous en passe de construire une Europe solidaire, donc sociale ?
Compléments :
- Obama se fait des ennemis ? La hargne de Sarkozy envers Obama.