Le jour où je me suis pris pour The Sartorialist !

Par Brulezn

Je vous avais promis de vous montrer plus de photos de mon exceptionnelle semaine de la mode masculine à Paris. Mais il m’a fallu laisser décanter les émotions, sélectionner les images, prendre le temps de regarder mon travail et de m’autoriser à lire vos critiques…Pour ceux qui ne connaîtraient pas The Sartorialist, il est Le monsieur Photo de street style le plus connu (son second étant Yvan Rodic alias FaceHunter), et à côté de lui la charmante Garance Doré !

Les looks que j’ai pu photographier pendant cette semaine m’ont montrer à quel point qu’on en parle de mode, on imagine tout de suite une femme, grande, perchée sur des talons de 12 cm, … bref une image écornée empreinte de préjugés et de clichés. Ce que j’ai vu à modifié mon point de vue. La mode c’est aussi un homme, un dandy, un styliste loufoque, un égaré de la penderie, … la mode en fait c’est l’art de mélanger les styles jusqu’à obtenir une alchimie entre notre apparence et notre personnalité. Car oui, la mode est un milieu superficiel, mais la superficie n’est elle pas ce qui sert d’enveloppe à notre âme ? Trêve de bavardages, passons aux choses sérieuses:

j’ai trouvé son style d’une sobriété incroyable mais la petite touche qui fait la différence est là ! A vous de la voir…

Sa nonchalance et son côté sûr de lui m’a laissé sur le cul ! Le seul homme qui peut fermer le dernier bouton de sa chemise et rester digne…

Restons dans le noir, cet homme vient d’une autre époque, celle où la classe était un état d’esprit et l’assumer, une chose évidente.

Lui vous le connaissez déjà, non ?

Que dire de ce type de mâle, il porte un costume matelassé, un nœud papillon, un ensemble rédhibitoire et pourtant il m’a laissé un souvenir amusé  de cet folle semaine: un homme qui assume un style différent !

J’ai volontairement « sali » cette photo-ci. Je n’ai pas de mot pour décrire son look ! ou si justement mais je le censure…

Lui, je pense que je vais lui donner un rdv dans mon service, il se dégage de lui une souffrance impalpable. Il faut lui reconnaitre le port parfait du sarouel et un gout particulier pour le tricot.

Je termine par cette demoiselle, revenue tout droit des années 40, une beauté naturelle qu’elle affiche et met en avant, rehaussée par un choix judicieux de sa tenue et de ses accessoires.

Voilà la prochaine fois, je vous montrerai les détails, les petits plus qui font que de ces personnages sont des êtres hors du commun…

Écrit par Nicolas

Classé dans :Tout pour la photo, Une pointe de mode