J'admets volontiers que mes écrits de ces derniers temps sont plutôt sombres. Il existe un certain nombre de problèmes économiques majeurs qui vont se traduire, à moyen terme, par de grave difficultés pour des millions de ménages qui ne s'y attendent pas. Mais une conversation virtuelle avec ceux qui ne sont plus là et une conversation réelle avec des amis bien présents, me permet toujours d'imaginer un futur plus prospère, plus juste et plus heureux. La nature humaine, parfois si désolante, est toujours porteuse d'espoir.
Les choix de gestion et d'investissements des collectivités, et des entrepreneurs ne seront pas simples, mais de nouvelles technologies vont apparaitre, de nouvelles solutions et surtout de nouveaux modes de fonctionnement vont se mettre en place.
Prenons l'exemple du pétrole. Bien sûr nous arrivons à la fin du pétrole «abondant et pas cher», mais de nombreux scientifiques travaillent depuis longtemps à de «nouvelles» sources d'énergie, et peut être que dans 20 ou 30 ans on se moquera complètement de la pénurie de pétrole?
Ma question, est la suivante: Est-ce que le vrai optimisme se trouve dans le déni de réalité?