Une tronche d’auvergnat qui mange du cochon et qui boit du vin, ça va, une tronche de catholique, même s’il mange du cochon et boit de la bière, bonjour les dégâts.
Quelqu’un qui me dit que j’ai une tronche catholique, il m’insulte. Il y en a même un qui m’a dit que j’avais la tronche d’un jésuite, alors là j’hésite, insulte ou pas ? un jésuite, est-ce un vrai catholique ?
Souvenez-vous ce que disait Alain Peyrefitte de la tronche de Georges Marchais, de mémoire : « si vous le croisiez à la lisière d’un bois, n’auriez-vous pas peur avec sa tronche de bandit de grands chemins ? ». La tronche de Peyrefitte, jésuite ou catholique ?