Bien que les institutions soient aujourd'hui inexistantes, Elliott Roy aurait souhaité que la coordination de l'aide internationale se fasse sous l'autorité du président René Préval qu'il juge absent. L'ampleur de la catastrophe ne justifie pas que des lieux stratégiques dans un état, soient contrôlés par une puissance étrangère.
Dans l'urgence il a choisi d'apporter son soutien au pouvoir en place car Haïti a besoin de tous ses fils pour se relever. Mais il redoute une catastrophe politique.