Après La Route, nous voilà de retour dans un monde post-apocalyptique avec Le Livre d'Eli. Cette fois-ci, plus d'actions, plus de dialogues, plus de couleurs (c'était pas difficile...) mais au final, pas tellement plus d'engouement que pour le précédent.
Eli (Denzel Washington) voyage seul depuis des années avec pour unique but d'amener un livre à destination. Pas n'importe quel livre ; ce manuscrit, censé sauver le futur de l'humanité, va faire l'objet de toutes les convoitises, dont celles de Carnegie (Gary Oldman), chef redouté d'une communauté de rescapés ultra-violents et qui veut s'en servir pour renforcer sa domination.
Un voyage banal et ennuyeux pour le spectacteur, qui se termine sur une morale religieuse assommante, loin d'être des plus originales.
Reste le plaisir de revoir Gary oldman que je n'avais pas croisé depuis longtemps et une musique originale de qualité.