Les éditeurs du bimestriel Shelly Bancroft et Peter Nesbett ont expliqué que la conjoncture financière ne permettait pas à toute la presse new-yorkaise de survivre.
Avec la crise, les revenus publicitaires du magazine ont chuté, malgré quelques tentatives de diversification, notamment la vente d'affiche, le magazine a dû réduire son personnel et finalement faire arrêter les rotatives.
Les éditeurs espèrent cependant que « d'ici six à douze mois, quand l'économie se sera relevée, quelqu'un se présente et relance la publication, que ce soit sous forme imprimée ou numérique ».