Les prévisions du groupe d’experts sur le climat sont contestées, et des scientifiques demandent la démission de son président.
Le groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) peut-il encore prétendre faire autorité quand il commet d’énormes erreurs ? La défense des scientifiques tient-elle la route ? Pourquoi la communauté des climatologues est-elle attaquée maintenant ? Autant de questions posées depuis la bourde sur la fonte de l’Himalaya, annoncée par erreur avec trois siècles d’avance.
Peu avant le sommet de Copenhague, la publication d’emails piratés entre chercheurs anglais (le Climategate), avait jeté un premier soupçon sur la neutralité des experts, qu’on découvrait prêts à « arranger » des données pour asseoir la crédibilité de leurs prédictions.
Le Climategate avait fait un flop en France, où la majorité de la presse presse se méfie des «sceptiques».