MR : « ALAIN DESTEXHE DOIT SE RESSAISIR »
Alain Destexhe (MR) s'indigne d'un clip vidéo d'un chômeur en réisertion professionnelle qui bénéficie du soutien de la "Régie mobile pour la culture" soutenu par la Mission locale d'Etterbeek, Actiris, les instances européennes, le gouvernement fédéral et l'Onem.
Il n'y a plus d'emploi, mais il y a des idées à Bruxelles et tout cela sous le couvert de la politique menée par la Communauté française dont Alain Destexhe lui-même, donc que grand bien fasse au gaspillage des subsides, s'il en est, à défaut de financer la culture, là où il le faudrait, mais sans doute que de tels clips à haute valeur d'insertion professionnelle à défaut de culturelle, pourrait servir la publicité d'Actiris qui rend « la vie plus active ».
Les paroles du clip qui le font réagir ne feront qu'agrémenter l'eau au moulin du port du voile, des minarets, du Mrax, pourquoi pas de la place de l'islam parmi les autres cultes, c'est très tendance aujourd'hui d'écouter cet air fortement multiculturel : "J'épouserai le Maroc après avoir baisé la Belgique", des paroles qui choquent le sénateur bruxellois qui évoque des "relents nauséabonds" !
C'est même à se demander si Alain Destexhe (MR), député de la Communauté française ne va pas se rallier très prochainement au nouveau parti populaire de Modrikamen, il démarre au quart de tour dans l'affaire du clip vidéo du rappeur bruxellois « Redouane la déglingue » qui a monté le clip « Pour les Pilotes » avec les subsides des pouvoir publics bruxellois; il ne supporte pas qu'on insulte la Belgique, enfin ce qu'il reste de la Belgique et en particulier de Bruxelles reconvertie en société multiculturelle ou interculturelle (bientôt moins les autochtones), mais le sénateur-député Alain Destexhe retarde depuis le mois de juin 2009, moment de la sortie du clip vidéo.
Chaque membre MR de l'opposition y va de ses propres stratégies contre le gouvernement de l'Olivier II, Didier Gosuin (MR) met la main à la pollution de l'air qui a dépassé les normes depuis 2005 et sans oublier le dossier de la station Aquiris ; Françoise Scheepmans (MR) s'inquiète des faibles marges de manœuvre financières de l'institution ; Vinvent De Wolf (MR) ne comprend pas pourquoi Actiris n'a toujours pas son directeur général depuis 17 conseils des ministres ; enfin Alain Destexhe focalise sur l'immigration et sur la longue liste d'échecs de la politique 'occupationnelle' menée depuis plusieurs années par les pouvoirs publics dans certains quartiers de notre capitale, la situation héritée d'une politique socialiste (PS)- libérale (MR-FDF) bruxelloise, ne risque pas de changer la donne, alors Alain Destexhe, il faudra vous y habituer, car la population autochtone est déjà bien dépassée par ces évènements... !