Tout ceci, les petites filles qui deviennent grandes, (ou pas, précisément…) m’a fait penser au très beau film énigmatique de Sofia Coppola, The Virgin Suicides.
Bande-originale de Air, ici Playground Love.
Peut-être justement un écho inversé du post précédent, les dommages d’une éducation rigoriste (à la nuance près qu’on est, dans cette histoire, dans les années soixante-dix) ? Le film n’assène rien de tel et reste mystérieusement clos sur lui-même comme un bel objet, mais on peut lancer des pistes…