Contrairement aux propos tenus hier par Nicolas Sarkozy, annonçant qu’il ne ferait pas appel – mais il n’est plus à un mensonge près ! – qui démontraient en même temps ses rares capacités de juriste car les parties civiles ne peuvent faire appel d’un procès pénal…
C’est donc le procureur de Paris, Jean-Claude Marin qui remet le «croc de boucher» à l’honneur, estimant que “toute la lumière n’avait pas été faite” sur l’affaire”. C’est nécessairement Nicolas Sarkozy ou – indirecte-ment MAM – qui lui aura donné l’ordre.
Fiat lux, donc. Dominique de Villepin sera rejugé plus tard par la Cour d’Appel de Paris. Cela nous “éclaire” surtout sur l’acharnement de Nicolas Sarkozy contre un adversaire potentiel à l’élection présidentielle en 2012. Et cela ne grandit nullement l’homme des basses œuvres et petites mais sordides magouilles.