Nous vivons une époque formidable. L’humanité, dans sa course permanente à la survie, continue de se comporter comme si elle souhaitait son auto-destruction. Enfin, surtout celle des autres. A
moins que leur vie ne me profite par la transaction d’un montant d’une valeur nominale. Et, alors qu’une partie de cette espèce pitoyable se creuse la tête pour rentabiliser la mode des
tremblements de mère façon Parkinson, une petite proportion a trouvé la solution pour faire de janvier un bon début d’année : taxer les gros. On a pas fini de se foutre de leur gueule.
La suite sur Le Grand BaZART...