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La Bachelière

Par Corentino

Attention, ceci n’est pas un flim sur la séxualité !

La Bachelière

Excellente question... Que fait-on tonton ?


La bachelière raconte la belle histoire de Pamela qui après avoir été diplômée se met à chercher un travail. Pamela est le stéréotype parfait de la jeune diplômée, sûre d’elle mais pas trop, future executive woman, qui passe au starbuck tous les matins, un rêve de carrière à la Lagarde.

Le problème survient lorsqu’elle se fait chiper son poste dans une boite d’édition par cette catin de Tatiana. Du coup, elle est obligée de faire des petits boulots à droite à gauche et surtout de rester dans la maison familiale.

Famille qui vaut le détour, le père est un bricoleur du dimanche, la grand-mère est une baba cool, le petit frère est un chouia en retard et la mère est transparente. En tous les cas, je ne m’en rappelle plus. Et aussi, il y a Bob, le meilleur copain de Pamela qui lui fait petit clin d’oeil genre ça te dirait qu’on aille courir tous les deux tout nus dans les prés. Sauf que la Paméla est trop niaise et elle préfère aller butiner avec Pedro, le cadre sup’ brésilien qui roule en grosse décapotable…

Ce n’est pas parce que ce n’est pas un porno qu’il faut le regarder pour autant.

J’aurai aimé avoir des arguments pertinents, des points précis qui justifieraient que je monte sur mes escargots, mais que nenni. Ce film est plat comme un pays. Vide comme un 13 h de TF1. Ce film, c’est un peu comme un épisode de plus belle la vie, mais sans histoire extraordinaire. Juste la vie normale, la vie de tout les jours. Et quand on parle de la vie de tout les jours, à part si on est en train de réaliser un épisode de strip-tease, on ne sors pas les caméras.

Pfiout du vent. Ce film ne sert à rien. On aimerait le faire regarder à des enfants pour qu’ils comprennent l’importance de la vie et qu’elle est faite de choix, mais n’importe quel Walt Disney ou Pixar fait cela bien mieux et sans la moindre once de vulgarité.

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Pour conclure, je dirai que si la bachelière était un film un peu olé olé, il aurait sûrement été meilleur… mais du coup, ça n’aurait plus été un film pour adolescente pré-pubère…


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