On peut dire que le low-cost a su s’imposer dans pratiquement tous les secteurs de notre société : automobile, voyage, textile, alimentation… et la coiffure ! Plusieurs salons, et notamment quelques franchises bien connues, ont adopté ce business modèle il y a plusieurs années et ont réussi à s’imposer comme des références en la matière. Alors low-cost ou pas low-cost ?
Un énorme succès !
Le pari n’était pas facile et pourtant ces quelques grandes enseignes que sont : Tchip Coiffure, Coiff&Co et Self’Coiff ont su profiter de ce positionnement notamment en réduisant leurs services au minimum et en organisant leur travail de telle sorte qu’un employé fera toujours les mêmes tâches, plus question d’accueillir, de faire le shampooing et de coiffer, chacun à sa mission et le but du jeu et d’aller le plus vite possible dans sa réalisation, on l’aura compris le mot d’ordre est ici « rapidité », ce qui génère un gain de temps et donc d’argent !De part ce fonctionnement, certaines enseignes comme Tchip ont vu leur activité progresser de manière exponentielle : créée en 1996, la marque compte aujourd’hui 330 salons en France et 5 en Belgique pour un chiffre d’affaire annuel dépassant les 80 millions d’euros.
Pas toujours apprécié…
Ces salons attirent par leurs tarifs très attractifs et leurs emplacements : ils sont surtout présents dans les grandes villes, les centres commerciaux… Là où les gens sont pressés et ne peuvent se permettre de passer plusieurs heures dans un salon. Mais au-delà de ces avantages que réclame notre société, il y la convivialité, la créativité et la passion d’un métier artistique que beaucoup de professionnels et de clients souhaitent garder à tout prix, même pour quelques euros de plus ! Il faut de tout, comme dans tous les secteurs, et le choix se fera donc en fonction des priorités de chacun.
Parce qu’on aime la coiffure, je vous dis à bientôt !
Axel.