La décision finale sera prise en mars pour être appliquée à partir d’avril. Le but et d’éviter que les entreprises licencient leur personnel durant la crise. En effet on prévoit que le taux chômage helvétique va encore augmenter durant les deux prochaines années.
Cette mesure ne devrait pas entraîner de coût supplémentaires pour l’assurance chômage. En effet, le coût d’un travailleur bénéficiant du chômage partiel est moins élevé qu’un chômeur classique.