Substances végétales odorantes !

Publié le 26 janvier 2010 par Gaiia

Depuila plus haute antiquité, les parfumeurs exploitent les végétaux afin d’en extraire les substances odorantes. C’est ainsi que selon les espèces, on utilise le bois ou l’écorce (cèdre, santal), la fleur (rose, lavande), la feuille, la tige, la racine (iris) voire la mousse (chêne)… L’industrie cosmétique s’enrichit alors de savons au trèfle, de poudres de riz à la violette, de crèmes à l’hamamélis, de parfums à l’œillet ou à l’héliotrope, de « concrétas » (parfums solides) au narcisse ou au pois de senteur, d’huiles protectrices à base de coco, d’olive, de ricin ou de fleurs de tiaré (monoï)… La principale difficulté reste l’extraction : même avec des procédés sophistiqués, l’opération nécessite plusieurs tonnes de fleurs ou de tiges pour un faible rendement. Aujourd’hui, on retrouve environ 5% seulement d’essence végétale naturelle dans les parfums.

Depuis la plus haute antiquité, les parfumeurs exploitent les végétaux afin d’en extraire les substances odorantes.
C’est ainsi que selon les espèces, on utilise :

* le bois ou l’écorce (cèdre, santal…),
* la fleur (rose, lavande…),
* la feuille, la tige, la racine (iris…)
* voire la mousse (chêne…)

L’industrie cosmétique s’enrichit alors de savons au trèfle, de poudres de riz à la violette, de crèmes à l’hamamélis, de parfums à l’œillet ou à l’héliotrope, de « concrétas » (parfums solides) au narcisse ou au pois de senteur, d’huiles protectrices à base de coco, d’olive, de ricin ou de fleurs de tiaré (monoï)…

La principale difficulté reste l’extraction :
même avec des procédés sophistiqués, l’opération nécessite plusieurs tonnes de fleurs ou de tiges pour un faible rendement.

Aujourd’hui, on retrouve environ 5% seulement d’essence végétale naturelle dans les parfums !!!

Gaiia proposera aussi dans sa gamme de cosmétiques naturels, des parfums solides moins volatiles et totalement naturels.

(Source photo : Monique’s Perfumes)