Depuis la plus haute antiquité, les parfumeurs exploitent les végétaux afin d’en extraire les substances odorantes.
C’est ainsi que selon les espèces, on utilise :
* le bois ou l’écorce (cèdre, santal…),
* la fleur (rose, lavande…),
* la feuille, la tige, la racine (iris…)
* voire la mousse (chêne…)
…
L’industrie cosmétique s’enrichit alors de savons au trèfle, de poudres de riz à la violette, de crèmes à l’hamamélis, de parfums à l’œillet ou à l’héliotrope, de « concrétas » (parfums solides) au narcisse ou au pois de senteur, d’huiles protectrices à base de coco, d’olive, de ricin ou de fleurs de tiaré (monoï)…
La principale difficulté reste l’extraction :
même avec des procédés sophistiqués, l’opération nécessite plusieurs tonnes de fleurs ou de tiges pour un faible rendement.
Aujourd’hui, on retrouve environ 5% seulement d’essence végétale naturelle dans les parfums !!!
Gaiia proposera aussi dans sa gamme de cosmétiques naturels, des parfums solides moins volatiles et totalement naturels.
(Source photo : Monique’s Perfumes)