La cosmétique, un retour à la nature !
Publié le 22 janvier 2010 par Gaiia
La plupart des cosmétiques contiennent des produits chimiques potentiellement dangereux pour la santé humaine et les écosystèmes. Certains de ces produits ont des effets néfastes connus sur la santé, alors que d’autres, faute d’en connaître les effets à long terme, sont tolérés par la législation actuelle. Or, un produit pour lequel on ne connaît pas les effets à long terme ne veut pas dire qu’il est sans danger. Il se peut que les tests de toxicité soient trop peu nombreux ou basés sur des effets à court terme. Il faut donc se méfier des ingrédients chimiques des cosmétiques synthétiques qui par « bioaccumulation*» peut provoquer plus que de simples iritations cutanés.
Pour répondre à la soif de naturel et de bio des consommateurs, La recherche de molécules naturelles a un but : trouver des remplaçantes inoffensives pour l’homme et l’environnement à toutes les molécules dont l’innocuité est actuellement remise en cause. On pense tout de suite au parabène, un conservateur de synthèse dérivé du pétrole, largement utilisé pour protéger les cosmétiques des moisissures et des bactéries mais aussi accusé d’être toxique et cancérigène. Pour lui trouver un substitut, l’Institut de chimie organique et analytique (ICOA), à Orléans tente ainsi d’isoler et d’identifier des principes actifs de plantes Guyanaises qui auraient des propriétés antimicrobiennes.
*Le terme bioaccumulation désigne la capacité des organismes à concentrer et à accumuler des substances chimiques, Les substances bioaccumulatives sont généralement solubles dans les matières grasses et ne se décomposent pas dans l’organisme.
La plupart des cosmétiques contiennent des produits chimiques potentiellement dangereux pour la santé humaine et les écosystèmes. Certains de ces produits ont des effets néfastes connus sur la santé, alors que d’autres, faute d’en connaître les effets à long terme, sont tolérés par la législation actuelle. Or, un produit pour lequel on ne connaît pas les effets à long terme ne veut pas dire qu’il est sans danger. Il se peut que les tests de toxicité soient trop peu nombreux ou basés sur des effets à court terme. Il faut donc se méfier des ingrédients chimiques des cosmétiques synthétiques qui par « bioaccumulation*» peuvent provoquer plus que de simples irritations cutanés.
Pour répondre à la soif de naturel et de bio des consommateurs, La recherche de molécules naturelles a un but : trouver des remplaçantes inoffensives pour l’homme et l’environnement à toutes les molécules dont l’innocuité est actuellement remise en cause. On pense tout de suite au parabène, un conservateur de synthèse dérivé du pétrole, largement utilisé pour protéger les cosmétiques des moisissures et des bactéries mais aussi accusé d’être toxique et cancérigène. Pour lui trouver un substitut, l’Institut de chimie organique et analytique (ICOA), à Orléans tente ainsi d’isoler et d’identifier des principes actifs de plantes Guyanaises qui auraient des propriétés antimicrobiennes.
* Le terme bioaccumulation désigne la capacité des organismes à concentrer et à accumuler des substances chimiques, Les substances bioaccumulatives sont généralement solubles dans les matières grasses et ne se décomposent pas dans l’organisme.
* Photo prise dans les Gorges de la Restonica en Corse.