(...)
Croyez-moi quand on est usé par la biture continuelle et la bouffe douteuse, et qu'on n'en peut plus de baiser pour oublier, il ne reste plus que les canards. Je m'explique : il faut bien sortir de son trou, sinon, on est bon pour la grande déprime et le plongeon par la fenêtre. (...) Alors on s'assied sur un banc et on regarde les canards ; ils se la coulent douce, pas de loyer, pas de fringues, nourriture à gogo. Ils n'ont qu'à barboter, chier et caqueter.
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