En écartant par la voie d’un amendement, la Présidence de la République, du champ de la commission d’enquête, ils ont vidé celle-ci de toute substance.
Après avoir rejeté une première commission d’enquête visant les sondages commandés par l’Elysée, après avoir préempté la présidence de cette commission à l’encontre de toute la tradition parlementaire, ce nouvel épisode traduit la fébrilité et l’inquiétude de la majorité, voire de l’Elysée.
Le Parti Socialiste condamne cette nouvelle atteinte au droit du Parlement et aux droits de l’opposition et exige que la plus grande transparence soit faite sur l’utilisation des fonds publics pour des sondages d’opinion.
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