Alors que certains prévenaient du déluge, et que l’on désespère des moutons, et que tout semble foutu pour le quidam critique à qui on ne la fait pas, et que les medias aliénés en feront la couverture mardi , le grand débat n’aura pas lieu sur le petit écran, espérant qu’il trouvera refuge sur le web redevenu, et heureusement assez soudainement « ressolidaire » sur un objet politique extrêmement compliqué et dont ils veulent simplifier la compréhension à travers une absence de débat pluriel.