Transformation – Brèves d’un Billet ampli de bon sens

Publié le 24 janvier 2010 par Hugues-André Serres

TransformationBrèves d’un Billet ampli de bon sens
Sources : Thierry Crouzet
« Sans reprendre l’article dans son ensemble« 
Ce que j’en retient… Et que pouvons-nous Faire

1 – Transformer la Société :
[...] Je signale à tous ceux qui font l’éloge de cette méthode politique, que je qualifie de classique, et qui ne sont pas en quête d’une position de contrôle qu’ils feraient mieux de balayer devant leur porte. C’est trop facile de dire « Il faut faire » et de chercher quelqu’un pour aller le faire à sa place. Si cette méthode vous attire, soyez-en les acteurs. Sinon adoptez une autre méthode.
2 – Transformer l’information :
[...] Nous pouvons bien sûr favoriser la propagation des informations qui nous paraissent pertinentes, mettre en lumière ce qui est par ailleurs occulté, propager de nouvelles idées, de nouvelles philosophiesElles influenceront alors la façon de vivre de tous ceux qui reçoivent ces informations, aussi bien à titre individuel, qu’à titre collectif. [...]
3 – Transformer l’Homme :
[...] Plutôt que de prendre le contrôle de la société pour la réformer directement par le haut ou de tenter d’imposer une nouvelle vision culturelle, je peux décider de commencer par me changer moi-même. Si ma transition porte ses fruits, si elle me rend plus heureux, elle créera peut-être des émules qui à leur tour aurons envie de changer de vieet la société changera (et les informations disponibles il va sans dire).
Au sujet du Pouvoir :
[...] Je ne suis pas sûr alors qu’être dans le poste de commandement aide à participer à la transition. Au contraire, une fois qu’on s’est battu pour une position, on n’est guère chaud pour la faire disparaître. Au cours d’une transition, les centres de contrôle anciens sont souvent les lieux du conservatisme. Par ailleurs, on peut aussi imaginer que le nouveau système de contrôle bourgeonnera là où on ne l’attend pas et prendra une forme qu’on n’attend pas. Aucune théorie a priori ne peut nous aider à savoir où nous devons agir. Pas simple de s’attaquer directement au métasystème. La meilleure façon de traquer son émergence, de l’accompagner, de la favoriser… c’est de se déployer partout, d’agir partout, donc que chacun de nous agisse dans la mesure de ses possibilités. [...]
Conclusion :
[...] Et je fais la même critique à tous les politiques qui parlent de changer la vie des autres sans eux-mêmes être capables de changer leur vie. Se changer soi-même n’est pas suffisant mais est nécessaire. Et c’est cette nécessité que néglige la plupart des gens qui parlent de politique. Lire l’article en entier

Ps : Si on lit bien, tout est dit dans ces quelques phrases… Encore faut-il savoir lire entre les lignes… (Rires…)