Un système largement plus simple, puisque l'on se contente de cocher l'une ou l'autre des cases, alors que par le passé, les utilisateurs désireux de protéger leur oeuvre devaient télécharger un logiciel distinct et passer par quelques manipulations.
Sauf qu'Amazon se défend de toute innovation. Enfn, dis ainsi, ça fait bizarre, mais laissez-moi m'expliquer : en fait, la firme annonce que cette solution a toujours été disponible et que la solution sans DRM était l'option proposée par défaut. En effet, il fallait recourir par le passé à un logiciel pour en ajouter, mais cette solution de gestion n'a rien de nouveau, se défend-on.
Sur les forums d'Amazon et d'ailleurs, on trouve des réponses qui ne vont pas non plus dans le sens de la communication officielle du cybermarchand. Et surtout que les livres étaient alors vendus sans DRM. L'hypothèse la plus probable reste que personne n'était au courant que les livres étaient effectivement uploadés et vendus sans verrous. Et que personne ne s'en était, parmi les acheteurs, non plus rendu compte.
Alors que la plateforme d'autoédition et de vente a été ouverte la semaine dernière au monde entier ou presque, et que désormais, Amazon invitera à développer des applications pour le Kindle, la société continue tout de même de nous prendre un peu pour des buses...