JC Bourdais, sur son blog, a repris l’écriture après un mois de silence avec un article intitulé Je ne veux pas que 2010 soit comme 2009 . Nous serions peut-être nombreux à dire la même chose. D’autres pourraient, au contraire, espérer que 2010 soit au moins aussi bien que 2009. Pour savoir ce que l’on peut se souhaiter pour la nouvelle année à peine entamée, il paraît nécessaire de dresser le bilan de 2009 comme l’a fait JCB. En ce qui me concerne, j’ai hésité à me lancer dans l’aventure par peur de constater que j’ai passé 365 jours à procrastiner.
Pour me lancer dans l’exercice du bilan 2009, je vais d’abord m’aider de de la grille de JCB.
Évidemment, je ne peux pas commencer comme il l’a fait, lui qui rêve d’aller dans un sous-marin ou monter dans une montgolfière et regrettant une fois de plus de ne pas avoir vécu l’aventure. Moi, ce n’est pas du tout mon truc, mais alors pas du tout. Il n’a pas gagné au loto ? Moi, je n’y joue jamais , donc ne peux pas gagner (car suivant le slogan 100% des gagnants ont tenté leur chance). D’autre part ce dont je ne peux que me féliciter, c’est que contrairement à lui, je ne suis allée à aucun enterrement.
Et puis ça diverge… Il n’a pas aimé Les Onze de Pierre Michon.
Certaines personnes, sur leurs blogs s’amusent à faire les listes des livres lus, films vus etc. pour dresser ce bilan. Pour moi, c’est un exercice impossible car je suis trop désordonnée, lis en vrac, aime ou n’aime pas, en vrac toujours.
Deux livres ont été édités par COUSU MAIN, l’occasion de deux rencontres à mettre dans la colonne des chances inouïes de l’année 2009.
1°) VERTÉBRALES d’Ophélie Jaësan.
2°) Le Lion des Abruzzes d’Angèle Paoli.
Des rencontres avec des mots, des femmes, des amitiés…
Les voyages de l’année 2009 ? Aurillac, Bécon-les-Bruyères, Saint Bonnet de Chirac… Que de l’exotique !
En 2009, je suis devenue prof. Je ne sais toujours pas ce que j’enseigne, mais j’enseigne. Étonnant, non ?
Et puis, il y a eu la vie qui est parfois un fleuve qui sort de son lit. En 2010, on annonce une décrue, paraît-il.